Le deal à ne pas rater :
Cdiscount : -30€ dès 300€ d’achat sur une sélection Apple
Voir le deal

 

 Rose M. Hastings

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Messages : 48
Points : 214

Feuille de personnage
Inventaire des achats :
Rose M. Hastings
Team MJ
Rose M. Hastings
MessageSujet: Rose M. Hastings    Rose M. Hastings  EmptySam 19 Mar - 13:46

Rose M. Hastings
ft. Emma Watson

Identité


Nom : Hastings – bientôt Blackwood
Prénoms : Rose, Mary
Âge & date de naissance : 24 ans, née le 18 juin 1896
Nationalité : Britannique
Profession / études : Dirige la société Hastings aux côtés de sa mère.
Etat civil : Veuve, et future femme de Lord August Blackwood
Orientation sexuelle : Lesbienne
Situation financière : Riche
Faites-vous partie du gang des Scuttlers (infos ici) ? : Oui [ ] - Non [ x ]

Caractère


Froide – arrogante – déterminée – polie – distante – autoritaire – juge facilement les autres – généreuse et aimante avec ses favorites – élégante – très bonne éloquence – jalouse – secrète – protectrice – persuasive – sensible mais le cache bien – susceptible – raciste – homophobe – manipulatrice – attentive – cultivée – douce seulement avec ceux qu’elle aime – dévouée à sa famille – possessive

Rose. Une femme au regard qui ne brille jamais. Ou presque. Vous savez, je la connais depuis son plus jeune âge. Je l’ai bercé. Je lui ai donné le biberon. Je lui ai donné son premier bain. J’étais là pour ses premiers pas. Pour son premier sourire. Et qu’il était beau son sourire. Jamais je n’aurai imaginé que ce bébé si doux, rieur, deviendrait la femme qu’elle est aujourd’hui. Froide. Distante. Élégante certes comme toute Lady qui se respecte. Mais sa beauté est tout aussi glacé que ses expressions. Il est impossible de deviner ce que mademoiselle ressent désormais. Elle est aussi fermée qu’une huitre, pardonnez-moi le comparatif.

Rose. L’arrogance même. L’autorité incarnée. La seule domestique avec qui elle est à peu près aimable n’est autre que ma personne. Après tout, j’étais comme une mère pour elle. Un tel lien ne s’efface pas. Mais je ne lui en veux pas. Car je sais que ma Lady souffre. Elle souffre d’un mal qui la ronge tous les jours. Je ne peux vous dire le nombre de fois où je l’ai vu prier à la chapelle. À l’entendre murmurer « pardonnez-moi mon père parce que j’ai pêché. » Les « je vous salue Marie » encore et encore pendant des heures. Oh vous savez, mademoiselle est sensible au fond. Je le sais. Si vous saviez combien de fois est-elle descendue dans mon office pour pleurer quand elle n’avait que dix ans. Elle a dû grandir trop vite. Et la guerre l’a profondément marqué.

Rose. Ce qui l’a sauvé, c’est sa détermination et son dévouement envers les Hastings, mes maîtres et maîtresses depuis toujours. Je ne me voyais pas quitter ma Lady lorsqu’elle a dû épouser Lord Timothy Blackwood. Alors je l’ai suivi. Les Blackwood ont toujours été aimables avec moi tout comme Lady Rose. Derrière ses airs de grande dame se cache – très bien caché j’en conviens – une jeune femme douce et aimante. À chaque dimanche, elle pense à me ramener une rose blanche du jardin pour que je la porte à la messe. À chacun de mes anniversaires – et Dieu sait comment elle s’en souvient – elle m’offre une nouvelle robe brodée à la main.

Rose. Je l’ai toujours admiré vous savez ? Pour son éducation, pour ses manières plus que parfaites. Pour sa politesse. Elle possède une éloquence rare et une culture bien plus développée que la moyenne, surtout depuis qu’elle est fiancée à Lord August. Il la traite comme une reine. Oh je le crois secrètement amoureux de ma maîtresse. Il est si bon avec elle. Trop bon. Dans la maison, elle a le droit à tous les livres. Il lui a même autorisé à apprendre à conduire une voiture. Il est formidable. Mais elle ne lui rend pas comme il se doit. Tout comme elle n’a jamais donné à Lord Timothy la moindre satisfaction…

Rose. Homophobe comme beaucoup d’entre nous. Raciste évidemment. Je ne lui en veux pas d’être ainsi, après tout, elle jouit d’une réputation à tenir et doit faire taire les rumeurs qui circulent à son sujet. Mais ici, nous savons tous et toutes ce que Lady Rose fait avec les femmes de chambre. Oh je n’ai jamais été une de ses « favorites » comme elle aime les appeler. Elle me considère comme une mère je vous le rappelle. Mais Dieu sait combien j’ai reçu de jeune femme en pleure dans mon bureau ma chère… J’espère sincèrement que vous ne serez pas l’une d’entre elle, mais j’en doute. Comme je vous l’ai dit, elle ne supporte pas les gens de… votre race.

Mais miss Dove… si jamais vous le devenez… préparez-vous à lui être dévouée. Elle est jalouse et possessive envers ses favorites. Vous ne devrez vous préoccuper que d’elle et jamais d’autres personnes de la maison vous comprenez ? Elle est très susceptible et je ne voudrai pas vous revoir redevenir bonne… ou bien être forcée de démissionner. Mais si vous la respectez, si vous l’écoutez et faites ce qu’elle vous demande, vous vivrez une vie des plus agréables croyez-moi.

Oh mon Dieu ! L’heure regardez ! Lady Rose ne va pas tarder à se réveiller. Vous feriez mieux de monter. Bonne chance miss Dove. Vous en aurez besoin.

Histoire


Rose est née un matin de juin, le 18, de l’année 1856. Lady Mary était si heureuse d’avoir une petite fille, tout comme son mari. Il avait déjà un héritier, alors que le deuxième enfant soit un autre garçon ou une fille lui était égal. Elle avait le teint aussi rose que la fleur, d’où le choix de son prénom. Quelques années plus tard, sa sœur Violet vit le jour.

Rose était une enfant rieuse, charmante, curieuse. Elle posait beaucoup de question et il a été très dur de lui faire comprendre qu’une Lady se devait de tenir sa langue et de ne pas importuner les Lords. Les punitions qui lui étaient infligés étaient sévères, mais peu longues. Madame la comtesse ne pouvait voir sa fille isolée pendant plus de quelques heures. Greta, sa gouvernante, lui glissait de temps à autre des biscuits lorsque la petite fille était privée de dessert pour mauvaise conduite. Elle était la petite princesse du domaine Hastings.

Jusqu’à l’arrivée Violet et plus tard, d’Arthur. La jalousie s’installa rapidement et la jeune fille, alors âgé de 12 ans, faisait vivre un enfer à ses deux jeunes frères et sœurs. Malgré les remontrances d’Edward, son grand-frère avec qui elle était extrêmement proche, elle ne cessait pas. Elle n’avait plus l’attention qu’elle méritait, et cela la blessait plus que tout. Elle passait ses journées seule, dans sa chambre ou bien dans les jardins. Mais bien vite, sa mère se concentra à nouveau sur elle, ne voulant pas que sa petite princesse soit malheureuse. Ce fut le début de la haine de sa petite sœur envers elle.

Mademoiselle adorait se promener. Dès qu’elle fut en âge de marcher, elle apprit à monter à cheval. Elle eut un nombre incalculable de poneys. Déjà à l’âge de 14 ans, elle partait seule en forêt avec sa petite jument Candice. Elle était indépendante. Sans peur. Libre. Et Lord Edgard avait vite compris qu’il lui fallait contenir sa fille avant que les dommages soient irréparables.

Rose fut donc placée au couvent pendant 3 ans. Elle y apprit l’obéissance. Le silence. Elle devint une femme pieuse. Mais également une pécheresse. Elle y découvrit les plaisirs de la chaire féminine. Et chaque jour sans exception, elle priait pour que le Seigneur lui accorde son pardon. Lorsqu’elle revint, son ancienne nourrice, devenue sa femme de chambre, ne la reconnut pas. Elle avait perdu l’éclat rieur dans son regard. Elle était à présent dépourvue de joie de vivre. Le couvent lui avait retiré toute expression. Ce lieu sacré l’avait détruite à jamais.

De ses 17 ans à ses 18 ans, elle vécut entre le domaine des Blackwood et celui des Hastings. Elle savait depuis toujours qu’elle était promise à son cousin, Lord Timothy Blackwood. Elle ne s’était jamais révoltée à cette idée. Certes, épouser son cousin directe signifiait commettre l’inceste, mais elle savait que tel était la volonté de ses parents. Alors, elle s’y plierait. Car l’honneur des Hastings étaient en jeu.

Le mariage fut un des plus beau que le comté n’ait jamais connu. Après tout, elle était la première dame des Hastings, et Lord Timothy l’héritier Blackwood. Lady Rose aurait dû être la plus heureuse des femmes. Mais elle savait qu’à la minute où la nuit de noce aurait débuté, elle devrait s’offrir à son mari. Et elle s’y refusait catégoriquement. Elle inventa donc un mal de tête terrible et une toux atroce durant la soirée. Elle paya le médecin pour dire à son époux qu’elle était extrêmement contagieuse.

Quelques semaines plus tard, la guerre fut déclarée et Lord Timothy partit au front. Le mariage n’ayant toujours pas été consommé, Rose réalisa alors qu’il ne le serait pas avant longtemps. La jeune femme avait explosé en sanglot au moment où elle avait vu son mari partir à la guerre. Tous croyaient en son chagrin profond, mais ce n’étaient pas des larmes de tristesse. Oh que non. Ce qui coulait de ses yeux n’étaient autre que du soulagement.

Libérée de son mari, elle allait être à nouveau enchaînée à un autre démon : son propre désir. Elle qui pensait que son esprit pervers l’avait quitté à la sortie du couvent, elle avait tort. Elle se souvenait parfaitement de la première fois qu’elle avait cédé. Elle s’appelait Victoria. Elle était petite. Brune. Un teint aussi pâle que de la porcelaine. Des lèvres aussi rouge que le houx de son jardin. Au début, elle se contentait de caresser sa nuque du bout des doigts au moment où la domestique la débarrassait de ses vêtements. Puis, quelques jours plus tard, sa bouche avait rejoint ses mains, et le lit avait remplacé sa coiffeuse. Elle redécouvrit les frissons, l’envie. L’adrénaline que lui procurait les caresses de ces femmes entièrement dévouées à elle la rendait folle. Elles étaient siennes. Ses propriétés. Ses distractions pour oublier la guerre. Pour oublier qu’à la fin de ces temps de tourmentes, elle devrait s’adonner à ses obligations conjugales lorsque son mari rentrerait.

Et puis, comme dans un rêve, son époux ne revint jamais de la guerre. Il était présumé mort. Lady Rose porta le deuil pendant quelques mois, continuant de savourer chaque instant privilégier avec chacune de ses favorites. Car elle savait que, bientôt, ses parents lui trouveraient un autre époux.

Et il prit le nom de Lord August. Son cousin. Âgé de 17 ans à peine. Lady Rose crut d’abord à une plaisanterie de mauvais goût, mais il n’en était rien. Dans quelques mois, elle serait à nouveau une épouse Blackwood. Et elle devrait fournir un héritier à la famille.


A votre propos


Pseudonyme : Hali, Rose ou Whaphy’s pour les plus anciens
Âge : 22 ans bientôt 23
Comment as-tu connu le forum ? : Je l’ai créé
Un petit commentaire ? : Love my girls

Revenir en haut Aller en bas
Messages : 60
Points : 89
Maître du jeu
Team MJ
Maître du jeu
MessageSujet: Re: Rose M. Hastings    Rose M. Hastings  EmptyDim 20 Mar - 10:42

FICHE VALIDÉE

Félicitation pour ta validation !  
Tu as été ajouter au rang des HASTINGS.

Tu retrouveras ta fiche validée juste ici

À présent, tu peux aller faire des demandes de lien dans  ce sujet et des demandes de RP dans ce sujet

Ta fiche de fait remporter automatiquement 10 points. Dans ce sujet, tu trouveras l'explication de notre système de point et quoi faire avec !

Au plaisir de RP avec toi,

Team MJ.
Revenir en haut Aller en bas
 
Rose M. Hastings
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Rose M. Hastings
» Heart of stone - 03/01/1920 - August x Rose
» No time to die - Louise x Rose (date à venir)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Heirs of Time :: Passport please :: Recensement :: Fiches validées :: Familles :: Famille Hastings-
Sauter vers: