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 Come On Boy | 20.01.1920 | Augward

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MessageSujet: Come On Boy | 20.01.1920 | Augward   Come On Boy | 20.01.1920 | Augward EmptyMar 22 Mar - 10:57


Come On Boy | 20.01.1920 | Augward 22caa9c92bcce2a28876c692d2867e43e60bf230

Come On Boy

Les yeux rivés sur sa pouliche, Edward avait l’air particulièrement fermé. Son front formait de légers plis qui auraient pu s’apparenter à un signe d’anxiété s’il n’avait pas été lui. Il laissa sa main glisser sur le chanfrein de China Girl et lui murmura quelques mots inaudibles qui ressemblaient davantage à une incantation magique qu’à des encouragements. La jument plaqua un moment ses oreilles contre sa nuque mais le trentenaire ne bougea pas, son regard toujours braqué sur l’animal. Et seulement lorsque l’alezane se détendit à nouveau, Edward se détourna d’elle pour presser doucement l’épaule d’Alfie. « Tu vérifieras sa ferrure, j’ai un mauvais pressentiment. » Et sans rien ajouter de plus, il tourna le dos à l’homme pour traverser les écuries d’un pas rapide.

L’hippodrome était étonnamment calme pour un jour de course. Peut-être parce que la course en question n’était pas des plus attendues. Mais c’était exactement ce qu’il fallait pour introduire sa pouliche de trois ans dans le milieu de la compétition. Il n’attendait rien d’elle, seulement qu’elle réussisse le départ et termine le tour. Les ordres avaient été clairs, il était inutile de la pousser pour sa première course; l’apprentissage était prioritaire sur les résultats.
Cela n’empêcha cependant pas de générer une certaine nervosité chez Edward. Ce dernier n’était donc pas mécontent d’avoir planifié un rendez-vous ce jour-là. Cela lui éviterait d’accorder trop attention à ce qui allait se jouer sur la piste.

Lorsque ses pas le menèrent aux tribunes, il n’eut aucun mal à reconnaître l’homme qu’il cherchait. Plus petit que Timothy, peut-être plus trapu mais un air de famille tout à fait évident. Edward s’installa à sa droite sans prendre la peine de le regarder. Il présenta en revanche sa main au jeune homme, les yeux perdus vers le champ de course. « Lord Blackwood, ravi de voir que vous avez fait le déplacement. J’espère que vous n’avez pas misé de trop importantes sommes, les résultats risquent d’être surprenants. » Cela dit, le Mancunien sortit son étui à cigarettes d’un air parfaitement décontracté avant d’en proposer une à August. Il en saisit lui-même une qu’il glissa entre ses lèvres pincées et l’alluma rapidement avant de se laisser aller contre le dossier. « Je connais votre frère. Je sais toutes les choses qu’il a faites à votre famille. Toutes les choses qu’il vous à faites à vous. » Et pour la première fois, Edward se tourna vers son interlocuteur pour détailler son expression. Il poursuivit néanmoins son monologue d’un ton détaché, le regard une nouvelle fois rivé vers la piste. « C’est un bon ami de ma soeur. Je crois qu’elle est amoureuse de lui mais je n’en suis pas sûr. » Son intonation restait jusque-là très énigmatique et Lord August aurait été bien inspiré de deviner ses intentions.

Le son des trompettes les interrompit quelques instants et Edward observa la réaction de sa pouliche lorsque cette dernière dut rejoindre sa stalle. Elle hésita, fit quelques pas en arrière et finit par avancer suffisamment pour que l’on puisse refermer les portes derrière elle. Edward émit un léger grognement et attendit le départ avant de reprendre une bouffée de tabac. « Mais si vous êtes venu, ce n’est pas tant pour parler de Timothy mais plutôt de votre situation. J’imagine combien les Hastings doivent être embarrassés en ce moment… Leur fille aînée forcée de sombrer avec votre famille… Lady Rose méritait mieux. » Un sourire léger se dessina alors sur les lèvres d’Edward. « A moins qu’ils ne soient pas au courant ? Mais alors dites-moi, August, combien de temps pensez-vous que les Blackwood tiendront avant de décliner pour de bon ? »
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MessageSujet: Re: Come On Boy | 20.01.1920 | Augward   Come On Boy | 20.01.1920 | Augward EmptyMar 22 Mar - 17:19


Come On Boy | 20.01.1920 | Augward BSjLaNq

Come On Boy

Je regarde les chevaux se préparer à la course, les coudes posés sur mes genoux. C’est sur cela qu’on aurait dû baser notre fortune. Et encore, même avec des chevaux surentraînés et des équipes qualifiées, mes frères auraient sûrement réussi à tout ruiner. Après tout, ils ont bien perdu notre fortune en pariant sur les mauvais destriers.
On ne pouvait réellement pas leur faire confiance. Au moins, maintenant qu’ils sont tous morts – ou presque… - je peux être certain que tout repose sur mes épaules. Si les choses ne fonctionnent pas, ce sera de ma responsabilité. Ce sera après que j’ai tout tenté pour remettre la maison à flot.
Tout, même les Hollom.
Celui qui arrive ne peut être qu’Edward. Il a l’âge et le physique correspondant à ce que l’on m’a présenté. Mon père m’en a longuement parlé. Et Timothy aussi, bien sûr, lorsque j’ai essayé de l’intimider. Comme si ce grand mancunien allait seulement prendre sa défense. Mon pauvre frère n’a toujours pas compris que personne n’avait envie de lui sauver la peau, à part notre très chère mère.
Je serre la main qui m’est présentée en souriant poliment. Edward a beau ne pas me regarder, l’apparence joue toujours un grand rôle dans les conversations professionnelles. Je sais très bien que je ne suis pas là pour m’amuser. Ni pour parier.
— Surprenant pour qui ? Vous ? Ou tous ceux qui ont misés ?  Non, merci, je ne fume pas.
Mon regard est attiré par les chevaux. Ils commencent à être tirés vers les stalles. Certains semblent particulièrement nerveux. D’autres sont très à l’aise, comme si l’enjeu n’existait pas pour les jockeys. Je ne sais pas quel animal pourrait le plus me ressembler. On ne peut pas dire que je me sente à ma place ici, mais je suis tout de même prêt à me battre pour obtenir ce que je suis venu chercher. C’est à dire la promesse que Tim va disparaître et me laisser l’héritage que j’ai mérité. Avec l’épouse qui va avec.
Je refuse de perdre Rose, au profit de mon frère. Surtout maintenant que je sais qu’elle n’a jamais voulu de lui. Tandis qu’elle me désire, moi.  Je ne le laisserais donc pas ruiner ma vie.
— Cela ne m’étonnerait pas. Timothy aime séduire les femmes pour servir ses intérêts. Il faudra veiller sur votre sœur, personne ne voudrait qu’il se joue de votre famille.
Je n’ai aucun scrupule à enfoncer mon frère. Tous les coups sont permis, maintenant qu’il tente de récupérer ce qui est à moi. Il fallait y penser avant de mentir sur son décès. Maintenant, je ne veux plus laisser passer ses coups bas.
Surtout quand j’apprends qu’il a dévoilé nos secrets à l’un des plus grands bandits de nos jours.  Comment a-t-il pu délier sa langue ainsi ?  N’a-t-il aucune conscience personnelle pour avoir fait ça ?
Mon regard s’assombrit, et je sens ma mâchoire se serrer. La colère se lit sûrement sur tous les traits de mon visage mais je ne peux pas rester aussi lisible. Je me force donc à me  composer un air plus détendu. Rien ne sert de nier, Edward doit déjà avoir des preuves de ce que mon frère lui a dévoilé.
Néanmoins, il faut que je reste calme. Pour les apparences.
— Ils tiendront encore des générations. Je ne suis pas comme mon frère, je ne laisserai pas le nom des Blackwood tomber aux oubliettes. Ni s’effacer sous les dettes que mes aînés nous ont laissés.
Je n’ai pas besoin de regarder Edward pour savoir qu’il jubile. Il me tient. Sauf qu’il n’a sûrement pas compris une chose : j’ai besoin qu’il me tienne. Car j’ai besoin de faire affaire avec lui, pour parvenir à sauver la famille.
Je ne panique donc pas à l’idée qu’il me dise tout cela, bien que mon cœur s’affole légèrement. Plus de colère que d’angoisse, à l’entendre me parler ainsi. August. Il vient de m’appeler August. Comme si nous étions amis de longue date. Ou qu’il était mon égal. Ce qui n’est absolument pas le cas.
— Mais je suis néanmoins tout à fait partant pour vous écouter, Edward. Si vous avez voulu nous rencontrer, c’est sûrement car vous avez des projets en perspective, auquel vous souhaiteriez que nous nous ajoutions. Les Hastings et nous.
J’insiste bien sur le nom de ma fiancée, pour lui rappeler que, face à nos deux grandes maisons, il ne peut rien. Et, d’ici février, si Timothy n’a pas tout fait foirer, plus rien ne pourra se mettre entre eux.
Je me redresse encore un peu plus, me tenant encore plus droit qu’auparavant. Mes bras sont croisés devant mon torse, pas pour paraître plus impressionnant mais simplement pour garder ma colère enfermée dans ma poitrine. Je suis conquérant, pas suicidaire. Je ne peux pas me permettre de fâcher Edward.
Je dis donc d’une voix posée :
— Vous semblez vouloir jouer. Ce qui ne m’embêterait pas, si j’avais l’assurance que vous n’êtes pas du côté de mon frère. Mais, pour le moment, vous semblez toujours prêt à l’aide. Je ne pense pas pouvoir travailler avec un homme qui traite avec des déserteurs.




Dernière édition par August A. Blackwood le Jeu 24 Mar - 11:45, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Come On Boy | 20.01.1920 | Augward   Come On Boy | 20.01.1920 | Augward EmptyMer 23 Mar - 11:11


Come On Boy | 20.01.1920 | Augward 22caa9c92bcce2a28876c692d2867e43e60bf230

Come On Boy

Le jeune homme semblait méfiant. Qu’il ne fume pas ne dérangea pas Edward. Ce dernier rangea l’étui dans une poche intérieure de son gilet et répondit calmement à August. « Je ne parie pas. Les courses importantes sont truquées. Les autres dépendent du hasard. Et vous comprendrez vite que je ne laisse jamais rien au hasard. » Sa voix était calme, presque menaçante. Il émit cependant un rire amusé avant de reprendre d’un ton plus joyeux: « Les résultats seront surprenants parce que pour la plupart des participants, il s’agit de leur première course. »

La conversation dévia néanmoins rapidement vers Timothy. La réaction d’August n’étonna que peu Edward. Il avait déjà cru comprendre que les deux frères ne se portaient pas dans leur coeur. Mais l’écouter le mettre en garde l’amusa beaucoup. Il n’en montra rien pourtant et se contenta de déclarer dans un sourire: « Que cela vous rassure, ma soeur est bien plus à craindre que lui. » Et s’il avait dû être honnête, il aurait certainement ajouté que c’était plutôt à Timothy de se méfier d’elle. Mais le chef de gang n’était pas là pour dorer l’image de l’ainé des Blackwood. Il était là pour étudier lequel de ces deux héritiers potentiels serait le plus à même de servir ses propres intérêts. L’entrevue prit d’ailleurs une tournure beaucoup plus directe. Edward n’avait jamais aimé tourner autour du pot. Il préférait jouer cartes sur table, surtout lorsqu’il se savait posséder un meilleur jeu que son adversaire.

Il resta cependant très courtois et écouta son interlocuteur avec attention. Son optimisme pouvait être attendrissant venant d’un garçon de son âge… Mais il n’en restait pas moins infondé. Si Timothy avait dit la vérité, c’était le début de la fin pour les Blackwood. Ca, Edward le garda pour lui. Il préféra voir August céder à sa précédente manoeuvre d’intimidation. L’appeler par son prénom n’était que la première étape. Il voulait voir le jeune homme capituler pour de bon. Il voulait le voir admettre que son sang ne le rendrait jamais supérieur à personne et certainement pas à lui. Seul l’argent importait encore or, de l’argent, les Blackwood n’en avaient plus.
Et alors que le chef de gang continuait d’analyser chaque parole prononcée par August, il nota sa volonté d’inclure les Hastings à l’équation. Le pauvre était loin de se douter que la famille de sa fiancée avait depuis longtemps accepté de trainer ses nobles principes dans la boue au profit d’une étroite collaboration avec les Hollom. Mignon.

Edward écrasa alors sa cigarette et sortit une paire de jumelles pour suivre la fin de la course. « Mhmm. Surprenant, je l’avais bien dit. » Il regarda son jockey féliciter la jument juste avant qu’Alfie ne se précipite pour palper les canons de la bête. « Elle a perdu un fer... » commenta-t-il pour lui-même en gardant son agacement pour lui. « Pardonnez-moi. Oublions les Hastings pour le moment, je vous prie. C’est de la situation des Blackwood que nous devons nous soucier. » L’ex-soldat déposa alors ses jumelles pour se tourner complètement vers August et enfin braquer son regard vers le sien. « Que les choses soient claires, August, je ne parie pas et je ne joue pas non plus. Les enjeux sont bien trop grands pour les laisser reposer sur des incertitudes. Je ne choisis pas non plus de camp. Je travaille avec ceux qui sont fiables. Prouvez-moi que vous êtes plus fiable que votre frère et je ferai en sorte qu’il renonce à l’héritage. Timothy n’en veut pas de toute façon, pas plus que de son épouse. Mais voyez-vous, Timothy est fidèle aux Hollom et il fera ce que je lui dirai. » Edward sortit alors un papier soigneusement plié de sa poche qu’il tendit au jeune Blackwood. « Voici la liste des terres que vous avez perdues. Veuillez vérifier qu'il ne manque aucun lot. » Il attendit que son interlocuteur ait fini de la parcourir, préférant le laisser cogiter un peu avant d’en venir au fait.

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MessageSujet: Re: Come On Boy | 20.01.1920 | Augward   Come On Boy | 20.01.1920 | Augward EmptyVen 25 Mar - 9:47


Come On Boy | 20.01.1920 | Augward BSjLaNq

Come On Boy

— Elle est jeune, elle a besoin d’être plus surveillée que vos autres chevaux.
Je passe une main dans mes cheveux pour me recoiffer, le vent les ayant ébouriffés. Je suis bien couvert, heureusement, sinon je serais déjà frigorifié sur place. Les températures sont loins d’être clémentes par ici et le mois de janvier n’est pas aussi doux que le précédent.
Dans tous les cas, plus rien n’est doux pour moi maintenant. Le retour de Timothy a été un vrai coup pour moi, je ne sais comment m’en relever. Je dois néanmoins le faire, si je veux me battre pour mon territoire. Aussi bien face à mon frère que face à ceux qui en savent trop.
Mon regard se porte au loin, suivant chaque cheval qui rentre au box. Je me promets d’en avoir un sur cette piste un jour. Ce sera le signe du renouveau des Blackwood. Et Edward ne pourra plus rien en dire.
— Pourquoi vous soucier d’une famille comme la nôtre ? Vous savez que mes parents s’opposent fermement à votre présence dans nos rangs. Vous devriez plutôt vous réjouir que nous disparaissions. Cela fera plus de places pour vous. Moins de résistance à combattre.
Je regarde pendant de longues secondes la feuille qu’il me tend. C’était cousu de fil blanc, il sait déjà tout. Je ne compte pas lui mentir, je veux juste gagner du temps, pour retourner la situation à mon avantage. Ce qui est plus que compliqué quand on fait face au dirigeant des Scuttlers, alors qu’on est à peine âgé de 19 ans.
Même si mon âge peut toujours être un avantage, je ne peux nier le fait que c’est également un frein pour ceux qui traitent avec moi. Je dois simplement montré que je suis aussi fort qu’eux. Et aussi intelligent.
Je finis par me saisir du papier, tout en disant d’une voix posée :
— Il était également fidèle aux Blackwood, avant de disparaître dans la nature. Qu’il ait fui la guerre, tout le monde peut le comprendre. Qu’il ne soit pas revenu à la maison après, c’est cela qui est plus difficile à accepter. Ce n’est pas un homme en qui l’on peut réellement avoir confiance. Pas lorsque ça ne sert pas ses intérêts, du moins.
La feuille dépliée, je lis chaque ligne avec appréhension. Il n’a rien oublié. Il a tout bon. Presque tout bon.
Avec les lèvres à peine étirées par un sourire très léger, je replie le papier que l’on m’a confié et me tourne vers mon interlocuteur. Je suis impressionné qu’il ait aussi bien fait parler mon frère. Il est doué, ce n’est pas pour rien que son gang est en train de gangréner le pays. C’est un allié de taille, que je compte bien avoir de mon côté.
— C’est également un homme qui n’est plus au fait des affaires familiales. Nous n’avons jamais vendu la ferme des Scott. Mon père le souhaitait mais je l’en ai empêché. La dernière terre qui nous permet l’exploitation des vaches. On ne pouvait pas laisser filer cette opportunité. Nous comptons également racheter certaines terres que nous avions perdu. Timothy a beau se confier à vous, il ne sait plus ce qu’il se passe chez nous. Vos informations sont inexactes et elles le resteront, tant que vous travaillerez avec mon frère.
Je lui rends sa feuille, ne souhaitant pas garder de telles informations sur moi. Je suppose qu’Edward ne veut pas non plus qu’un papier pouvant l’incriminer se trouve dans la nature. Mes yeux se portent de nouveau sur l’horizon, alors que je souris.
— Vous ne jouez pas, est-ce bien cela que vous m’avez dit, Edward ? Pourtant, j’ai l’impression que vous êtes en train de parier sur le mauvais cheval. Vous qui avez l’habitude de tout rafler, vous risquez d’être déçu, à rester avec Timothy.
Mon sourire est cordial, tout comme ma voix qui pourrait pourtant être bien plus froide. Mais tout est une question de mesure. Je peux ne pas aimer traiter avec les Hollom, cela ne signifie pas pour autant que je ne dois pas le faire. Je dois simplement penser stratégie. Et placer mes pions de la bonne façon.

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